L’industrie de la finance a très vite adopté les robo-advisors depuis leur arrivée en France en 2015. Ce conseil financier d’un nouveau genre permet de proposer une simulation de prêt ou de rendement d’investissement de façon personnalisée, rapide et automatisée.

Les portefeuilles clients peuvent-ils être gérés en parfaite autonomie par des robots intelligents et peu coûteux ? Malgré leurs qualités, les robo-advisors ne possèdent pas les soft skills qui font l’efficacité du conseiller financier de chair et d’os ! Observation :

Ce que le robo-advisor ne peut pas faire pour vos clients

Il ne peut pas accompagner jusqu’à la prise de décision finale

Le robot procède à des recherches détaillées et sert à la réflexion du client. Mais lorsque vient le temps de la prise de décision, le client souhaite pouvoir se tourner vers un expert qui validera avec lui son projet financier.

Il n’a pas prévu les situations particulières

L’étude d’une situation patrimoniale peut rapidement nécessiter des conseils plus spécifiques (expatriation, parc immobilier important, etc.). Quand le robot peut répondre aux demandes simples, l’humain fait du sur-mesure.

Il n’a pas l’art de la conversation

Le robot n’a pas la voix assurée, le ton pédagogue et le sens de l’écoute qui mettra en confiance le client. Or, pour établir un lien, ces échanges informels sont essentiels.

Il n’est pas capable d’anticiper les besoins du client

Lorsqu'un client exprime un besoin, le robot sait offrir le produit qui convient le mieux. En revanche, il sera incapable de détecter une opportunité pour proposer une montée de gamme. Là encore, l’intuition commerciale humaine est imbattable !

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